quarta-feira, 28 de maio de 2008
Ceriz University
Vous êtes à Ceriz, une île française dans le pacifique proche des Etats-Unis. Dans cette île paradisiaque, il y a la plus prestigieuse école de tous l´Amérique. Il y a dix ans, un évènement tragique, bouleversa tous les étudiants à tel point, que l´université a été fermé. Une jeune fille studieuse, avait été noyée dans le cours d´eau qui passe juste à côté de l´internat. Maintenant, le campus est bien sécurisé. Une nouvelle directrice, bien décidé à refaire de l´université de Ceriz une prestigieuse école, à réouvert depuis trois ans l´université. Le seul problème, est que tout les étudiants se sont répartis dans divers groupe, qui rivalisent entre eux.
« Je me souviens bien, c´était une vendredi, d´ailleurs je n´oublierais jamais cette terrible journée. Laura et moi, allions retourner dans notre chambre (on partageait la même chambre dans l´internat), pour faire nos affaires car nous repartions chez nous pour les vacances. Elle s´était disputé avec William, son petit ami, en lui demandant, elle m´avait simplement dit que ce n´était rien, que tout allait s´arrangeait, alors je n´est pas insisté. Lorsque nous étions en train de traverser la cour de l´internat, Will s´avança vers nous. J´accéléras le pas pour les laisser seul. En faisant ma valise j´entendit une voie féminine crier. Je ne prêta pas attention la première fois, mais la deuxième, je descendit. De notre chambre, nous n´avions pas vu sur la cour. En arrivant dehors, je vis Will et Laura dans l´eau. Il essayait de la noyer ! Voulant défendre ma meilleure amie, j´alla dans l´eau aidait Laura et résonné Will. Mais lui, ne me laissa pas cette chance, il pointa une arme devant moi et je me souviens exactement de c´est parole «Sois gentille, la seule chose que tu peux faire pour vous deux, c´est de sortir de l´eau, et de partir. » Je ne croyais pas à ses paroles, et je voulais absolument aider Laura. En l´aidant, il me tira dans le bras. Au bruit sourd du coup de feu, deux élèves paniquer sortirent de l´internat. Nous étions la seule classe à sortir si tard, la veille des vacances. Donc toutes les autres élèves étaient déjà rentrées chez eux. Mon cousin, essaya de discuter, de m´aider à sortir de l´eau. Laura arrivé parfois à récupérer de l´air encore, mais pendant que Peter, m´aida à sortir de l´eau, Will sortit aussi. Laura était à la surface de l´eau… J´essaya d´y retourner, mais Peter m´en empêcha, il n´y avait plus rien à faire. Un ami de Peter, alla chercher le corps, et constata que son cœur avait lâché, que ses poumons étaient remplis d´eau. Will avait fuit. La concierge, sortit et vit beaucoup de sang, elle me demanda ce qu´il m´était arrivé, mais j´avais moins mal à mon bras qu´a la perte de Laura. Ensuite, on m´emmena à l´hôpital. Quelques jours plu tard, seul le directeur était revenu dans le campus. Grâce à son autorisation, je retournais dans ma chambre, chercher quelques affaires pour les rendre à ses parents. Je m´aperçu, que Laura, avait acheter des vêtements plus amples, qu´elle m´avait demandé qu´elle était mes prénoms préférés,qu´elle avait pris un livre sur les nourrissons et que je trouva un test de grossesse dans la poubelle que je compris qu´elle était enceinte. Au procès de William, il avoua que c´était le fruit de leur disputes. Il ne savait pas pourquoi il avait paniqué a ce point de l´avoir tuer, il avait paniqué. C´est après tant de regrets et tant d´insatisfaction, d´heure de psychologies, et des années, que j´arrive enfin à en parler, mais c´est souvenirs me hantent encore… » Méline Houli, à maintenant 32 ans.
« La noyade de Laura ? Bien sur que je m´en souviens. Je la connaissais bien, c´était la meilleure amie de ma cousine Méline. Ce vendredi, il ne resté que la concierge et notre classe. Comme nous habitions loin, nous étions dans un internat. Avec mon ami Martin, nous étions passé à la bibliothèque avant d´aller à l´internat, en arrivant dans la cour, je lui donna mon sac avec mes livres et je courus vers Méline, qui était dans l´eau. Will, tenait une arme à la main, et je ne distingua que plus proche que c´était Laura qu´il essayait de noyer. Méline était blessée par balle. Je lui dit que je ne ferais rien, je sortirais juste Méline de l´eau, pour la soigner, doucement, et il accepta. Pendant se « sauvetage » Méline ce débattait, mais William, pointé son arme sur nous. Lorsque je réussi enfin à la sortir de l´eau. Le tueur sortit de l´eau, laissant le corps de Laura flotter. Martin sortit son corps de l´eau afin de savoir si il pouvait faire encore quelque chose pour elle mais malheureusement rien. » Peter Houli, à maintenant 32 ans.
Ceriz université
domingo, 11 de maio de 2008
About HKH The Prince Emmanuel de Cériz and the Royal House of Ceriz and Virkantzya
About HRH Activities, Researches, and Creativness
The Prince Emmanuel de Ceriz (le prince Emmanuel J. Azeved O. Tavora De Ceriz) is the first transmutalist writer and the founder of the Transmutalism movement. [[1]] HRH Emmanuel de Ceriz, Prince of Vyrkantzya, develops several activities: is a knight, art painter, scientific researcher, writer and musician.
One of his ancient and well known ancestors was Guy de Ceriz (year of 1343), Lord of Ceriz (“Seigneur de Ceriz”), “Maitre d’hotel du roi de France”, which means ‘member of the royal French family and second place in kingdom command.
Transmutalism is the recent ontological system created by Emmanuel De Ceriz and explained in their books ”The Book of Meta-H”, 1995, "Transmutalism", 1999, and "Ignius", 2001. It consists in his transmutation into a new species, some kind of “divine”, unlimited and immortal being.
He also founded a new mathematics theory, the "Transmutational Calculus", to explore the possibilities to transmute one thing into a completely different thing (essence and structure), A~>B (A transmuted in B), with A=/=B (A different from B). A new and more complete mathematics (in his vision) could be born with new axioms, for example “axiom one of Transmutalism”: A equal to B means, simultaneous, that A is different from B, this is a paradox regarding the usual accepted axiom of identity that says that one thing is equal (only) to itself; and all the actual mathematician building his based on it . To Transmutalism theory that axiom is incomplete and, subsequently, their “actual mathematician building”. Also his idea is very different from the old alchemy and even from the nuclear physics approach (particle accelerators and so on, e.g.” Cyclotrons”). Also is very different from the recent physics research called “Cold Fusion”. All this because Transmutalism is based on an inner transmutation directly achieved from the energetic field that composes each being by a complex relation with various and simultaneous kinds of ‘consciousness’; regarding chaos theory and science of complexity, as well as quantum physics, Emmanuel De Ceriz assumes that, for example in human beings, even random processes and subjacent chaos have their own and very significant consciousness, which is vital for human transmutation, and also for any kind of transmutation, substances, elements, and so on. It is not easy to resume Transmutalism here. You could read the site (http://www.ceriz.org/) although you have to translate most of it from Portuguese to the language that you most domain. However, on the site, you will be helped with the use of some efficient automatic translators.
The Ancestor ListAre we related? Is your great-grandfather our mother's cousin's grandma's nephew once removed? There's only one way to find out . . . . In this list, names and dates are indexed by surname:
Ceriz
Ceryz
Cerys
Ceris
Keriz, Kerik
About the Family Roots:
HRH Prince Emmanuel de Ceriz and Virkantzya have in his old ancestors, for example, King D. Ramiro II from the middle-age kingdom of Leon (notes 1. and 2.), the Great Master of France, Gui de Ceriz, Seigneur de Ceriz (Lord of Ceriz), Prince of Ceriz Ay (note 3).
Want to send us a brief note? Email us at Sir E. Wallis Budge
Web Sitehttp://www.ceriz.org/
About the Royal House of Ceriz
quinta-feira, 1 de maio de 2008
A CIDADE DOS DEFUNTOS - Capítulo VI (por Emmanuel de Cériz)
A CIDADE DOS DEFUNTOS - Capítulo VI
Como gosto de me deitar assim tão direito e esticado e me imaginar como morto no meu túmulo de pedra.
Como morto, não propriamente morto. Fora do tempo; por uma qualquer eternidade de não-existência.
Imagino-me no meu túmulo de pedra forrado a veludo negro através do qual não passa qualquer ruído; longe da gentalha barulhenta e zumbideira que não para quieta nunca. Apetece-me tudo parado, quieto, imóvel. Na tranquilidade do silêncio; na paz eterna.
Apetece-me saborear, imaginar, que nunca nada existiu, nem existe; nem eu. Que o sonho do universo foi apenas um sonho mau, um pesadelo conturbado e agitado; cheio de tanto sofrimento e dor…
; deixem estar tudo quieto
; porque senão tudo sofre
; tudo sofre tanto
; é tanta dor
E é quase impossível não ferir, não ser ferido
; Há tanta insegurança
No existir, no viver
Há tanto sofrimento no mundo
Tanta dor
Apetece-me ficar assim, nem morto, nem vivo
Estático, imóvel
Onde nada possa perturbar
O meu isolamento
Ou a paz falsa que imagino encontrar nele
Assim muito direito
Muito alinhado
No meu túmulo
Fora do tempo
Não quero existir
Na verdade parece que me apetece que nada exista
Que nada tenha existido
Nunca
Deitado, hirto, imóvel, perfeitamente alinhado e estático
E a tranquilidade dum silêncio absoluto, imperturbado
Deitado como um fuso, numa cápsula do tempo flutuando no espaço sideral
Esticado e muito direito como num sarcófago
Parar tudo onde tudo parou
Reflectir inconsciente
Por uma qualquer eternidade
…
Porquê existir se é sempre melhor não existir
Porquê existir se há sempre dor e sofrimento
Porquê existir se não há nenhum sentido
Que eu consiga descobrir
Que justifique, que compense
Toda a dor
Sempre dor
…
É noite na cidade dos defuntos; na cidade onde nunca anoitece.
Na cidade onde é sempre poente,
Onde a luz nunca fere,
Onde nunca é dia nem noite
Neste momento invulgar anoiteceu.
E já nem o errar pelas largas avenidas apetece. Já nem o morrer um bocado em alguma das casas ou mansões que têm sempre as portas abertas apetece.
Quando esta noite acontece,
Quando esta rara noite acontece
Apenas apetece não ser
Não ser
Nunca
Nunca ser.
...
E, contudo...
quarta-feira, 9 de abril de 2008
A CIDADE DOS DEFUNTOS por Emmanuel de Cériz
Era sempre poente na Cidade dos Defuntos. Ou então crepúsculo, imediatamente a seguir ao Sol se pôr. A luz do dia oscilava entre poente e crepúsculo. Mas, essencialmente não havia tempo. Ou tempo era algo destituído de significado.E não havia vento. Nunca o havia. Por vezes apenas uma aragem, uma brisa morna. Como a temperatura. Sempre morna.Os movimentos eram apenas os suaves, os silenciosos. E os barulhos, sobretudo os ruídos, inexistentes, desconhecidos. Nada perturbava a paz que permeava o ar, que era o próprio ar; banhado sempre pela luz suave e alaranjada do poente.Insectos não os haviam, não os poderia haver. Nunca os houvera nem haveria. De resto, passado, presente ou futuro faziam pouco sentido. A acção era vista como um todo e não importava o quando.Na Cidade dos defuntos a maioria das normas e das regras, dos anseios e das barreiras, dos objectivos e dos deveres estavam mortos. Também não faziam sentido. Nem tão pouco as necessidades. Não havia necessidade de necessidades.Repousava-se onde se queria. Caminhava-se por onde apetecia. Não havia portas fechadas. Estas ou estavam abertas ou apenas encostadas. Nunca fechadas.
Sim, havia o grande cemitério do repouso ao lado da avenida.Mas tanto fazia; podia-se lá repousar assim como na soleira de uma porta ou no interior de uma sala de uma qualquer casa que se escolhesse para morrer um bocado. Pouca diferença fazia estar vivo ou morto e não se fazia distinção entre uns e outros: os vivos e os mortos. Também se podia repousar em cima de uma campa ou no interior de um túmulo. Ou então morrer temporariamente, ou ficar em estado de letargia, ou dormir.
II
Ele estava desesperado, não sabia o que fazer. Nem conseguia pensar. Há muito que não conseguia pensar. Assistia à sua vertiginosa decadência, à sua ruína, e não conseguia pensar em algo para remediar a situação.Sentia-se a desmoronar cada vez mais e sentia-se cada vez mais bloqueado.Mas o pior de tudo era a sensação de ser ostracizado, descriminado.
Se, pelo menos, eu conseguisse ficar bem lúcido e inteligente, e ter um pouco de confiança também para vislumbrar um plano de ataque, um caminho, uma solução para sair deste pântano em que a inactividade se tornou uma obrigação face à desilusão.O que é que se passa? Porque estou assim? Estou acabado? Porque não posso deixar de existir então? Porque tenho de continuar a viver para padecer apenas presenciando a minha decadência, o meu desmoronar imparável, a minha ruína?.. Se já passei o tempo das oportunidades então porque não posso ter a misericórdia de acabarem comigo? É isto o após juventude?.. a época da não-esperança?
Ou errar...
Ao longo da avenida, por entre os jardins calmos do Cemitério do Repouso, pelas ruas, pelas praças, pelo interior das casas...Pois aí, na Cidade dos Defuntos, pelo menos não havia metas, desígnios, objectivos, posses, deveres, obrigações, ganhos, ou perdas...
IV
Perdi, fracassei, falhei, nas realizações desta vida!?!... Não pensei que isto fosse assim! Então, de repente, apercebi-me que já passaram todos estes anos e que a sociedade, 0 mundo, já fechou as portas todas! E sou isolado, descriminado, ostracizado. Impedido de qualquer realização! De repente é já demasiado tarde e o mundo acabou para mim e restam apenas a solidão, 0 abandono, 0 desprezo do mundo mesmo perante aquilo que de melhor faço como a minha arte, a minha investigação, a minha literatura... 0 mundo despreza tudo isso, todo o meu sumo, todo o meu melhor e remete-me para o campo de concentração dos falhados, dos que não têm direito a constituir família, dos que nao tern direito a uma profissão digna e a alguma qualidade de vida. Dos que passaram o prazo de validade. Dos sem-esperança. Dos que foram sentenciados a terem passado o prazo de validade (mesmo sem o terem) e que por isso apenas lhes resta padecerem pelos anos fora sem esperança de melhoria até que, um dia, a morte os leve. Condenados precocemente ao caixote do lixo por uma humanidade prepotente.
E a depressão instala-se e tolhe ainda mais os movimentos. Sente-se que já nem vale a pena explicar a alguém a nossa situação e o que sentimos porque nos invade o sentimento da inutilidade dessa acção. E depois, a pouco e pouco, descobrimos que já nem conseguimos explicar porque estamos assim e porque nos sentimos tão mal e porque sofremos tanto. Já não conseguimos explicar a natureza do pântano labiríntico em que estamos afundados. E depois já nem nos próprios fazemos ideia e não sabemos destrinçar o conjunto de coisas que nos afectam e cada vez ficamos mais enterrados na desorientação e no desespero. Pensamos que nada vale a pena, que não vale a pena analisar e explicar o conjunto de coisas que estão na base do nosso sofrimento e, a dada altura, já nem a nos próprios conseguimos explica-las. Mergulhamos cada vez mais em não distinguir senão uma amálgama das coisas que nos torturam, uma confusão do que nos faz sofrer tanto e ficar prostrados na inutilidade e na inacção.
O que me afecta tanto?
Já nem eu sei bem. Terei de fazer um esforço para destrinçar.
Afecta-me 0 facto de eu não ter conseguido até à data transmutar-me num ser incorruptível e imortal e isso constituir em si mesmo quase que uma certeza de que afinal esse meu sonho era impossível. Andei tantos e tantos anos a sonhar realizar algo que se me afigura afinal impossível! Que grande decepção, que desilusão!... Sempre imaginei que fosse algo muito difícil de atingir, mas não supus que fosse impossível. E afinal parece que não há volta a dar, ao invés de aperfeiçoar cada vez mais o meu ser terei de assistir à sua deterioração, à sua degeneração, ao envelhecimento, à decadência e à morte. Serei apenas mais uma vítima de uma sentença que tudo parece abranger. E todos os milhares de horas de estudo e de investigação, e das centenas de experiências, tantas delas dolorosas, que fiz com 0 meu próprio corpo e espírito, na minha luta pela transmutação parecem ter sido em vão. Quase tempo perdido!...
Foi 0 sonho de toda uma vida que caiu por terra.
E, de certo modo, apostei quase tudo num projecto que falhou.
Afecta-me portanto a inevitabilidade de que estou a envelhecer, a deteriorar-me, e de que envelhecerei cada vez mais. E de que tudo será cada vez mais negro. E isso é o pior de tudo aquilo que me tortura.
Afecta-me o facto de eu não ter cimentado uma carreira profissional concreta. Depois de tudo o que estudei, não ter, afinal, uma profissão digna, definida e aceite. De não poder ganhar 0 meu dinheiro e viver com dignidade.
Afecta-me a minha solidão e eu não ter constituído família. Sinto a falta de amor e a falta de família. Sinto-me só. Cada vez mais só.
Afecta-me eu não dispor de meios e de dinheiro para ainda constituir e suportar essa família.
Deterioração e envelhecimento;
Profissão, realização profissional;
Dinheiro;
Amor;
E Família.
Mas não tenho a certeza de serem estas as coisas que realmente me afectam. Poderá ser algo mais abrangente e que me escape.
Le Livre "LE TRANSMUTALISME", en Français, in French:
I partie
- Introduction
- La Saga de Eoalkper Eoasell (synthèse symbolique)
- Dèfinitions
- Champs d’investigation
- Synthèse des experiences personnelles
- 1ère Abordage
- 1er Rajeunissement
- 2ème Abordage
- Le livre de MetaH
- 3ème Abordage
- 2em Rajeunissement
- 4ème Abordage
- 3em Rajeunissement
- Symboles (et Mythes) du Transmutalisme
- Pour un nouveau courant artistique: le Transmutalisme
II PARTIE
- Influences de la Physique Quantique
- Hypothèses Mathèmatiques (et axiomes)
- Theories sur la Transmutation
- Analyse Historique / Porquoi le non-révelement
III PARTIE
- Répercussions sur l’individu et la societé
- Impact sur l’Art, la Musique, la Literature, la Philosophie, la Religion et la Science
- Une nouvelle attitude Existencielle et Ontologique pour l’Homme
I PARTIE
introduction
J’ai dérivé le mot transmutalisme de transmutation, ceci est transformation intrinsèque, absolue.
Malgré que le transmutalisme soit une philosophie, ou mieux, un courant de pensée qui est subjacent à toute mon expression artistique, je pense qu’il dépasse les arts et se projette dans une nouvelle attitude d’être par rapport à l’existence.
Toutefois, le transmutalisme peut se tourner un courant artistique avec une thématique et un ensemble d’aspects techniques caractéristiques ne peuvent d’aucune forme se limiter à l’art dû à son ample dimension.
Ceci est ce que j’ai essayé d’approfondir dans les pages suivantes de cet essai.
LA saga de eoalkper eoasell
(Synthèse symbolique)
Il y a plusieurs milliards d’années, il existait une petite nation de guerriers, où vivait un enfant de sept ans, appelé Eoalkper Eoasell.
Eoasell était un enfant pareil aux autres, mais il avait l’étrange sensation que ce qu’il était ne correspondait pas à son véritable être. Il sentait que son corps était très fragile et limité, ce Qui l’étonnait. Pourtant il s’interrogeait:
-- Comment puis je m’étonner, si j’en ai jamais eu un autre?
Parfois, il avait réellement la sensation qu’il avait déjà eu une nature différente, avec des pouvoirs, et illimité, et que maintenant il était prisonnier dans ce corps, que ses capacités étaient aussi prisonnières.
Non, cela ne pouvait pas être sa véritable nature: dans ses jeux d’enfant, sa force intérieure le faisait sauter de hauts murs, mais en tombant, il se blessait la tête et se faisait mal. Malgré cela, il persistait, il sentait que cela ne pouvait être ainsi, il n’était pas comme cela, pas aussi fragile. En jouant aux guerriers, il se lançait seul contre beaucoup d’adversaires. Les autres enfants l’entouraient comme des fourmis et finissaient pour le faire tomber. A l’intérieur de Eoasell il y avait une autre sorte d’être, un être indomable et illimité. Un être qui s’entristait pour ne pouvoir croiser les cieux comme une comète, plonger dans les feux du soleil, le traversant d’un côté à l’autre, restant au rubre, mais tout en se maintenant indestructible, inaretable et plein de liberté totale. Il devait pouvoir démolir des murs, soulever des rochers, arrêter la pluie et, à chaque fois qu’il se blesserait, il pourrait règenerer son corps immédiatement. C’était les étranges sensations du petit Eoalkper Eoasell.
A quinze ans, il passa par hasard à la maison de Elinoa, une vieille savante. Il l’a trouva réunie avec d’autres ideuses. Il su que certaines venaient de contrées lointaines de l’autre côté de la côte. Comme ils étaient en saison froide, elles s’asseyaient autour du feu Qui crépitait et racontaient des légendes et des histoires d’un passé lointain et nébuleux. Une de ces légendes lui causa un impact et un sentiment de familiarité inespérés. Qui le racontait se nommait Amaroa:
“Il y a longtemps, il existait un dieu appelé Manu. Son apparence physique était pareille à celle d’un humain. On dit que notre espèce à été crée par lui.
“A un certain moment, on ne sait pourquoi, Manu a décidé de ne plus être un dieu mais de devenir humain. Peut-être se sentait-il seul, il voulait être comme ses semblables, ou peut-être voulait il faire évoluer les êtres humains comme lui-même, ou il voulait se transcender... personne ne le sait exactement.
“Manu s’est fragmenté en plusieurs parties et s’est mélangé aux âmes d’embryons humains. En se partageant en morceaux il a perdu part de sa conscience et est rentré en oubli de soi. Toutefois, certains enfants ont gardés en mémoire parts de la nature passé de Manu.
“C’est ce qu’il est arrivé avec un garçonnet appelé Eus. Depuis très tôt il a commencé à sentir une étrange nostalgie. C’était comme s’il était habitué à un autre type de existence, plus livre, moins impossible. Il se sentait bien peu intégré dans son espèce. Les autres enfants ne partageaient pas as sensibilité, ni son goût pour braver les mystères de l’univers. Ils se divertissaient en faisant du mal aux animaux et se moquaient de son intérêt d’apprendre les sciences du monde. Ils mentaient et, parfois, lui volaient ses choses. Eus ne comprenait pas la méchanceté de ses pareils, surtout aux adultes Qui commettaient des actes encore plus cruels et brutaux. Il ne se sentait pas faire partie de la même espèce, il ne se sentait pas à la “maison”. [...]
DÉfiniTIONS
Ce qu’est le Transmutalisme?
Le Transmutalisme, créé par Emmanuel de Cériz, est essentiellement une attitude ontologique. Une posture différente face `l’existence et à notre propre être.
Les attitudes plus communes face à l’existence résultent de l’acceptation de l’être (ce que l’on est) et d’une réduction à ce même être:
- réduction au type d’être, à ses caractéristiques, limites, forme et possibilités.
Cette attitude commune consiste à vivre en étant à peine le type d’être que l’on est jusqu’à la mort. Jamais n’est mise en cause le type d’être. Notre conscience l’accepte dés la naissance acceptant ses possibilités mais aussi ses limites. Elle vit dans ces conditions jusqu’à l’extinction de la vie, sans jamais se questionner s’il peut transmuter son être en un autre, dont les caractéristiques pourrait être si différentes comme celles d’une nouvelle espèce.
Au delà de se limiter aux caractéristiques de son type d’être, il fait aussi partie de l’attitude commune, le fait d’accepter la décadence de cet être et de sa fin, comme la mort.
Nous trouvons ici trois sub-attitudes principales:
1. Acceptation et réduction de ce que l’on est seulement.
2. Acceptation de la décadence de l’être (ou du vieillissement).
3. Acceptation de la mort comme fin inévitable.
Subjacente à ces trois grandes sub-attitudes, il y a une attitude globale – celle de l’assujettissement, de la soumission.
Soumission aux mécanismes de la vie et de l’existence.
L’Homme est ainsi un être sujet aux éléments. Un être complètement dominé et soumis à l’espace-temps et à sa propre nature.
La conscience humaine est passive – perçoit et reflète sur le milieu, mais ne domine pas. Elle n’agit pas directement sur l’environnement mais agit à peine en petite partie sur le propre être.
Chaque être possède un niveau déterminé d’énergie, transaccionant l’énergie dans une déterminée échelle. La conscience se soumet ainsi aux limites préconçues de chaque espèce d’êtres.
On pourrait penser que l’assujettissement n’est pas total puisque enfin, le type d’être que l’Homme est, ne vole pas et pourtant, l’Homme a construit des machines qui le transportent en volant. Or, l’Homme n’a pas altéré son propre être pour qu’il vole; la soumission à la impossibilité de voler a toujours été présente. Dans son escalade pour outrepasser ses limites, l’Homme ne l’a jamais fait réel ment, jamais il n’a altéré son propre être, éliminant, en effet, ses limites. La vie qu’il a suivit a consisté à créer machines et la technologie pour contourner ses limites. Dépouillé de tout cela, l’être humain se trouve identique à l’être humain d’il y a milliards d’années.
Que serait-il de l’Homme sans ses engins? Au long de tous ces milliards d’années, l’évolution de l’être en soi-même – l’évolution ontologique de l’Homme – a été très petite.
La conscience humaine se comporte comme un sub-produit du corps et ne catalyse pas suffisamment d’énergie pour réaliser sa complète gestion. Il y a des cas de guérison de certaines maladies par l’énergie de la croyance. Dans ce cas-lá, je suppose que la conscience a atteint momentanément, une meilleure gestion du corps. La conscience passive est devenue active.
L’Homme, dans sa généralité, a toujours vécu, en tentant satisfaire ses nécessités, en explorant ses possibilités et en attendant la fin (quelques uns dépositant leur croyance en une vie après la mort). Ce “modus vivendi” fait partie de la soumission à la condition d’être humain.
Imaginons maintenant une société où les personnes vivraient cherchant à se transmuter en êtres où la dite conscience serait dominante sur le moyen et sur le propre individu. Une société où les personnes puissent vivre pour se transmuter en êtres illimités. Cela serait presque semblable à un monde où les êtres humains seraient comme les chrysalides qui précèdent les papillons. Les papillons qui seraient alors des êtres humains déjà transmutés en des êtres sans limites dû aux consciences maintenant dominantes et actives.
Utopique? Peut-être pas.
Peut-être que ce qu’il nous manque pour cela, se soit la croyance de cette nouvelle possibilité. La volonté et le désir aideront la conscience à découvrir les moyens pour y arriver.
Ce qui différencie la conscience humaine de la des restants animaux c’est que la notre conscience atteint la notion de son type d’être, de ses possibilités et limites et arrive à imaginer la transmutation dans un autre type d’être. Les autres animaux paraissent avoir une conscience indéfinie sur leur propre être et possiblement nulle sur la possibilité de se transmuter. De ce mode jamais ils ne pourront vouloir être ce qu’ils ne pourront pas imaginer. Peut-être parce que la conscience humain est au commencement des possibilités pour se auto transmuter, puisqu’elle entrevoit cette possibilité. Les animaux restants ne paraissent pas atteindre ce niveau de conscience.
Au long de l’histoire, ce qu’il a manqué à notre espèce pour la création et le developpment d’une attitude transmutaliste, face à l’existence? Je suppose que fondamentalement:
1. La croyance de la possibilité de transmutation de l’Homme;
2. La volonté et le désir de réaliser cette transmutation.
Cela, parce qu’enfin ont étés crées et développés d’autres attitudes de vivre en se préparant pour un mérite d’une vie remplie après la mort.
Les facteurs qui développent cette attitude sont du même ordre:
n La croyance de la possibilité d’atteindre une vie remplie après la mort.
n La volonté et le désir de l’atteindre.
Je ne prétends pas retirer la validité de cette attitude mais, il est intéressant d’observer qu’ici, la possibilité d’obtenir une immortalité agréable est reléguée au bien vouloir des dieux. Cela donne la sensation que l’Homme a recherché à se retirer sa part de responsabilité de réussir à outrepasser certaines limites et les ont colloquées aux mains des divinités, de la nature, du Karma, des cycles existentiels, des réincarnations, etc. ...
“Je vais bien me comporter, afin que après la mort, Dieu me donne la vie éternelle”. Cette attitude existentielle est subjacente en grande partie, sinon dans la plupart des religions. Je voudrais à peine souligner que l’on prétend obtenir la vie éternelle comme un présent, un cadeaux, à travers d’un mérite. Sans réaliser un travail direct de création de vie éternelle par l’Homme.
Il y a un autre facteur prépondérant: cette immortalité, cette vie éternelle est seulement obtenue après la mort, sans que nous, les vivants, puisons savoir un jour si cela est vrai ou pas. S’il est vrai ou pas que au moins cet individu ou celui-là sont arrivés à la vie éternelle après la mort. Après la mort c’est un rideau noir, ce qui s’y passe on en sait rien, rien de concret. Ainsi nous ne pouvons réfuter une quelconque information. On ne peut pas savoir si cela est vrai ou faux.
Peut-être à cause de cela, déterminées croyances religieuses sont élevées sur des affirmations qui ne sont pas passibles d’être prouvées, de là leur durabilités. Grande partie de ces croyances s’étendent sur des siècles ou des millénaires.
Imaginons une religion dont la principale croyance serait que l’Homme pendant sa vie, peut se transmuter en acquerrant vie éternelle. Pour cette religion il serait dangereux une telle croyance sur ce pilier. Il suffirait sûrement de une ou deux générations de disciples, sans que aucun ne se transmute pour que cette religion tombe en décroît. ...Même que cette croyance était vrai.
Et alors, combien on atteint la vie éternelle après la mort? Nous ne savons pas. Et comme nous l’ignorons, nous pouvons continuer à croire. C’est comme ça la mécanique religieuse.
La transmutation des individus serait quelque chose qui se peut voir, constater. Pour cela, il serait nécessaire que au moins un individu de l’espèce humaine, réalise cette transmutation, pour que cette croyance puisse subsistir. Curieusement, selon le texte biblique de la religion chrétienne, il a été constaté ce qu’il semble une transmutation. Aprés avoir été crucifié Jésus Christ dans son tombeau, transmuta son corps en un “corps glorieux”, aquierant la vie éternelle.
Pourquoi est-ce que malgré cette occurrence de cet épisode inscrit dans la Bible, il n’a pas surgit une attitude transmutaliste au sein des chrétiens? Pourquoi n’a t’il pas surgit la croyance que l’espèce humaine a la possibilité de se transmuter?
Une forme d’éviter une telle croyance serait de nier que Jésus fait partie de cette espèce humaine.
La religion, en considérant que Jésus a réussi à ressusciter en étant le fils de Dieu et non comme un être humain (qu’il était aussi), retira aux êtres humains restants la même possibilité.
Et pourtant, dans le texte biblique il est écrit que en Jésus l’esprit de Dieu naîtrait Homme, aussi Homme que les autres. Jésus Christ a été pourtant un élément de l’espèce humaine qui s’est transmuté en un être divin, sans limitations (indépendamment de l’origine divine de l’esprit de Jésus, puisque enfin selon la Bible, tous les esprits viennent de Dieu).
Si a une époque de “oeil pour oeil, dent pour dent”, surgit un être humain avec un message d’amour et, en conséquence de son évolution, il réalise aussi quelques actions paranormaux (interprétées comme miracles), son message sera, à peine, partiellement capté. Cela parce que cet être est immédiatement idolâtré et seulement quelques une de ses leçons seront assimilées. Les restants seront attribués à sa condition divine et, pourtant, ne sont pas suivis car ils seront considérés impossibles par nous, simples êtres humains.
Méditons sur la signification de la transmutation à la Physique:
Transmutation correspond à la transformation physique d’un élément en un autre. Par exemple, la transmutation du plomb en or. En accélérateurs de particules, on arrive à effectuer la transformation d’atomes de plomb en atomes d’or. Pour le faire, il est nécessaire d’”injecter” une grande quantité d’énergie à l’atome de plomb pour que celui-ci se converte en or. En réalité, le noyau de l’atome de plomb est bombardé avec des particules de haute énergie.
Je pense que la transmutation est intimement relationnée avec l’énergie. Si l’être humain arriverait à catalyser une grande quantité d’énergie, possiblement il entrerait en processus de transmutation. Parallèlement, il y aurait une expansion de conscience. La conscience pourrait arriver à faire la gestion de la totalité de notre corps et jusqu’à un peu de notre environnement.
Jusqu’à ce jour, on ne trouve que peu d’exemples d’individus qui seraient capables d’avoir réalisé leur transmutation. Ce phénomène n’est pas surprendrant si nous remarquons que jamais il n’a existé, au sein de notre espèce, ni une quelconque attitude propice à la transmutation, ni à la croyance d’une telle possibilité.
Je suis convaincu que si un nombre significatif d’êtres humains, aurait partagé le même intérêt pour se transmuter, l’addition de tous ces efforts et les expériences réalisées, constitueraient déjà une vaste connaissance qui aurait permit a à beaucoup d’atteindre cette réalisation.
La physique quantique a, récemment, fait la démonstration, que la conscience de l’observateur influence le phénomène observé. C’est-à-dire peut altérer la réalité.
Nous pouvons altérer notre réalité.
Malgré le quasi ignorance historique d’exemples de transmutation, il existe une grande quantité de cas de réalisation partielle ou d’approchement de ce processus:
n Les Corps de beaucoup d’individus qui on été considérés des saints, n’ont souffert, depuis la mort, l’habituel processus de décomposition. Ces corps ont été observés par des milliers de personnes, dans des urnes de verre dans diverses églises au monde entier. Pendant des années, leur apparence, ne s’est pas altérée.
n L’annulation de l’ego et l’atteinte du Nirvana par plusieurs disciples de l’hindouisme et du bouddhisme. L’expansion de la conscience et une identification avec l’essence universelle.
n L’obtention de divers pouvoirs paranormaux par des yogis, monistes tibétains et autres spiritualistes.
Nous pouvons ainsi arriver à la synthèse d’une définition:
Le Transmutalisme est une attitude ontologique et existentielle, inclinée pour la réalisation de la transmutation individuelle.
La transmutation individuelle est la transformation de l’être humain en un autre type d’être, dépourvu de nos limites et impossibilités. Dépourvu de rigidité limitant de notre corps. Un type d’être qui vit dans un état de domination du corps et de son environment et non dans un état d’assujetissement aux éléments.
Emmanüel De Céríz, Novembre 1999
Pour un Nouveau Elan Artistique
- LE TRANSMUTALISME -
par Emmanüel De Céríz
Novembre 2000
J’a formé le mot Transmutalisme à partir de Transmutation – dans le sens de la transformation absolue d’une chose ou idée en autre essentiellement différente et/ou surtout, la transformation d’un Etre en ce qu’il souhaite davantage daprès l’essence de sa nature en regardant envers le passé ou l’avenir.
De cette façon, de nouvelles composantes pour la représentation artistique par rapport à tous les détails concernant ce retour de l’Etre à son essence, au niveau de l’image et de la sémantique.
Dans ma conception de peinture, on a dégagé plusieurs éléments qui intègrent les émotions, c’est-à-dire, l’Art Transmutaliste. On peut classer ces éléments en trois catégories:
1. Les éléments essentiels à la genèse de l’oeuvre;
2. Les éléments qui appartiennent aux circonstances personnelles ou instrument mental au moment de l’exécution;
3. Les éléments qui caractérisent les aspects techniques et physiques de l’oeuvre d’art.
Les éléments génétiques de L’Oeuvre
Les symboles et les mythes du transmutalisme – le langage aléatoire de l’existence
Les symboles du transmutalisme se trouvent normalement dans l'esprit de l'artiste, au début de l’exécution de l’oeuvre. Cette indicible présence est le suffisant pour que, au milieu ou à la fin de la peinture, des formes commencent à apparaître, bien que des éléments ou le contexte général concernant le transmutalisme. C’est pourquoi le peintre ne doit pas consciemment s’efforcer pour que ces formes se révèlent. L’utilisation du conscient et du rationnel doit être minimisé.
L’autre élément qui doit être présent à la genèse de l’oeuvre est la clarté d’esprit capable de transparaître au tableau, au moyen de coups de pinceau parfaitement aléatoires, la langage de l’existence. Ma conception d’aléatoire n’est pas synonyme du hasard, mais si un langage presque illisible de l’existence, c’est-à-dire, un langage multidimensionnel, kaléidoscopique.
Pendant le commencement à peindre, une grande sensibilité et un vide intérieur doivent être présents à l’artiste, à fin de permettre cette expression aléatoire. Ça veut dire, que la “conscience universelle” devra élaborer l’oeuvre, en laissant couler les mouvements qui vont tremper le tableau avec des taches et des couleurs sans être filtrés par la conscience. L’artiste doit se placer davantage au point de vue de l’accoucher de l’existence que au lieu de l’artisan. Celui-ci doit fonctionner comme un canal qui aide la naissance, sur la toile, de la perfection de la forme, de la couleur et du message de que seulement l’Absolu est capable. Plus tard, on découvrira, au milieu ou à la fin de l’exécution de l’oeuvre, comment ces formes aléatoires s’encadrent en faisant apparaître un sens.
Le moyen mental utilisé
la metaconscience – les états hors de la réalité commune – les interprétations des formes aléatoires
Au milieu et à la fin de l’oeuvre, l’objectif c’est de rester en état d’esprit qui nous permet de fonctionner fondamentalement au niveau le plus élevé de l’esprit, lequel j’appelle de metaconscience. Des zones possiblement encore embryonnaires ou même atrophiés, probablement situées au niveau qui s’oppose à celui de l’inconscient (où se plongent les abîmes de la pensée). Ces points s’identifient davantage avec la conscience de l’énergie universelle, c’est-à-dire, avec un état entre le humain et le divin, et moins avec les peurs, les douleurs et les plaisirs de l’ego.
L’état de conscience doit pouvoir comprendre et exprimer des éléments qui n’appartiennent pas à la réalité commune. En supposant que cela occupe le même espace de la réalité que l’on comprend, il y a des réalités que l’on n’aperçoit pas dans un état normal de conscience. L’artiste doit toucher les états de conscience altérée pour dépasser la réalité et transporter au tableau les plus profondes impressions de l’ultra conscience.
Parfois, dans la même Oeuvre, on aperçoit de différents niveaux de réalité, d’espaces et des temps. Les frontières de la réalité et de l’espace-temps, communs au niveau de notre réalité, disparaissent et, dans la toile, apparaissent plusieurs réalités (espaces et temps) sans avoir délimitations et mélangées dans un tout.
Un état de metaconscience est essentiel pour bien comprendre, d’une façon holiste ces formes aléatoires transportées au tableau, au début et au milieu de l’Oeuvre, à la fin de les compléter ou leur donner des expressions plus soignées, plus définies et plus perceptibles.
À peine cet état de conscience pourra imprégner le tableau d’une vision cosmique, au lieu de se borner à une interprétation archétype ou à des visions de l’inconscient. De cette façon, au moment où notre interprétation fait apparaître des taches aléatoires, les monstres et les blocages de l’inconscient ou les images attachées à la conception manichéiste de bien et mal qui donnent une forme duelle à la culture occidentale, c’est pour les placer au-delà de ces limitations et dans un contexte plus large et moins affecté par notre ego.
Les caractéristiques techniques et physiques
le mouvement – les transmutations de couleur – les coups de pinceau quantiques – les vortexs d’énergie et mouvement – des déformations énergétiques de l’espace-temps autour des centres d’énergie – les déformations des objectes – les transmutations des formes et des êtres – les formes métamorphiques – la représentation fréquente d’états de transition – l’indéfinition (formes et couleurs) – l’indéfinition des limites des formes, d’espace et de temps – les deux modèles d’archétypes
Le mouvement est omniprésent dans la peinture transmutaliste. Les coups de pinceau sont distribués tout au long des lignes de force; tandis que les figures et les objectes souffrent des expansions; les horizons se touchent, et la couleur s’épanouit en ses gradations.
Ces gradations expriment la transmutation des couleurs en mouvement qui représentent des tonalités intermédiaires et, finalement, elles se transforment complètement en d’autres couleurs.
Dans certaines zones du tableau, les coups de brosses deviennent quantiques en se ressemblant au mouvement des particules vibratoires. En ces espaces, l’énergie rayonnante de la figure humaine, ou d’un objecte quelconque, est très forte, où les rayons de la brosse se dégagent les uns des autres en suivant le mouvement des vortexs d’énergie. Ça ressemble, quelques fois, les Chakras où l’énergie se tournoit.
Tous les êtres qui développent une énergie au-delà du commun, comme par ex. quelqu’un qui est en processus de transmutation (ou même quelqu’un qui transmute ses énergies), peut se présenter comme un vortex. Le même peut se passer avec quelque être ou objecte enérgetique.
Ces pôles énergétiques à fréquence élevée provoquent des altérations dans l’espace-temps, comme un effet de champ. Ces effets sont perceptibles dans les déformations des objectes ou des êtres touchés par cette énergie.
Il y a une tendance pour représenter les possibilités de la transmutation des formes et des êtres, tout au moins, le début de ce processus, qui est en soi-même, une forme de mouvement.
Dans la multitude d’états d’être qui se meuvent en des niveaux d’énergie au-delà du commun, les limites de ces formes s’effacent et les êtres et les objectes dépassent les frontières rigides du normal en se métamorphosant. Ces formes métamorphiques des êtres et des objectes, parfois animisées et parfois humanisées, surgissent fréquemment dans la représentation pictural.
L’expression artistique prédominante dépend des états intermédiaires. Les états de transition entre l’être humain normal et l’être transmuté et, aussi, les transitions parmi les formes en général et les couleurs.
L’indéfinition possède une qualité vitale – l’indépendance du rigide et des caractéristiques de l’être. Le sujet ou la forme indéfini, ou peu défini, est plus libre pouvant se transformer en autre. La définition rigide est limitée en engageant le sujet à ses caractéristiques. Le mouvement montant qui conduit les êtres à la transmutation les emmène à renoncer à leurs limites bien définies et à émerger dans l’indéfinition avant de passer à d’autres formes.
L’indéfinition produite, dans la peinture transmutaliste, une libération de la prison ontologique et de l’espace-temps, laquelle se plonge dans la pensée humaine. Une forme indéfinie, un âge indéfini, une couleur indéfinie. Ça veut dire l’indépendance face au type d’être et face au temps et à l’espace. La couleur et la forme surgissent très souvent indéfinies, mais cette indéfinition se prolonge aussi aux limites de l’espace et du temps.
Les figures centrales s’encadrent, fréquemment, non dans un espace, mais en horizons et perspectives multiples. Ces espaces multiples où les êtres se trouvent sont, parfois, les espaces subjectifs de la pensée dans laquelle ils vivent. Quand on se place face un paysage quelconque, l’espace envisagé subjectivement n’est pas à peine un espace, un paysage, mais si toutes les projections, tous les panoramas, auxquels on associe cette perception. L’encadrement des figures se rend, de cette façon, un kaléidoscopique de horizons et paysages.
Parfois, l’absence de limitation des formes signifie une fusion de l’être ou de l’objet avec l’ambiance. La figure est imprégnée de cette ambiance à laquelle elle appartient.
Il faut quelque sensibilité pour saisir les formes archétypes qui, parfois, apparaissent dans les coups de pinceau et les taches plus ou moins aléatoires et, ensuite, les mettre en valeur.
On aperçoit, très souvent, deux modèles de ces images-là: 1) Les figures les plus communes rapportées aux archétypes du subconscient ou aux stéréotypes de la vie commune;
2) Un autre modèle de figures plus difficiles à grouper dans ce modèle-là, quoiqu’elles contiennent, cependant, un profil ou style archétype.
Le secondité modèle d’images n’est pas si évident, mais il laisse moins transmettre une sensation familiale semblable à celle de archétypes plus communs, en mettant en évidence une réalité et une vivence moins communes. Ces réalités appartiennent au domaine des plans existenciels plus élevés et vécus d’une moindre fréquence. Quelques-unes de ces formes me rappèllent des figures évoquées dans les révélations mystiques d’Emmanuel Swedenborg et encore celles des yogis hindous.
Comment doit-on observer la peinture transmutaliste
Une chose est égale et différent de soi-même – il y a plusieurs images dans une seule image – l’attitude d’un clairvoyant face l’aléatoire – la différence concernant les cryptogrammes
À mon avis, l’incomplétude des axiomes concernant la Mathématique, une chose est simultanément égale et différente en soi-même. C’est-à-dire, elle contient toutes les différences, verbi gratia les expressions ci-dessous:
“A” = “A” et “A” =/= “A”
L’axiome est, pourtant, complet et il permet d’expliquer que les choses se transforment et transmutent en d’autres.
En quelques-unes des images qui surgissent sur la toile transmutaliste sont entremélées d’autres images. Une seule image contient plusieurs images différentes. En général, une de ces images-là est la prépondérante, parce que c’est celle qui ressaute aux yeux au premier coup d’oeil. Mais, quand on se laisse concentrer dans la vision contemplative flexible, on la verra se transformer en d’autres images. Ces images surgissent souvent encadrées par de différentes perspectives d’espace et temps. De cette manière, le tableau se developpe en plusieurs plans, plusieurs histoires, plusieurs visions ensembles. Cela représente les différentes réalités concernant un seul sujet par rapport aux différents plans déjà vécus.
Face quelque-une de ces peintures – celles qui sont davantage tranmutalistes – on doit adopter une attitude clairvoyante. Ça veut dire qu’un bom spectateur doit avoir, donc, une attitude sage.
Ces techniques on été utilisées anciennement par tous ceux qui voudraient pénétrer l’inconnu de la Nature en utilisant plusieurs processus:
- La Cartomancie
- Les Coquilles
- Les Feuilles de Thé, etc., etc.
Tout cela s’attache au langage aléatoire n’importe quelle technique.
Face la peinture transmutaliste, l’observateur a la vision facilité sans besoin d’une grande sagesse, puisque les images sont déjà sur le tableau esquissés par l’artiste au moyen de quelques coups de pinceau, des morceaux de lumière, de la couleur et forme.
L’observateur d’un tableau devra librement observer l’Oeuvre en visualisant les différents détails et laisser aussi son imagination transmutaliste s’apercevoir des images accouplées, croysées existantes dans la même image, transformée ou transmutée dans la même figure, mais en de différents espace-temps. Ainsi, un même tableau se décompose en de différents tableaux, qui se développent en de différents sujets, panoramas ou temps.
C’est ce qui arrive dans le tableau appelé “Batalha Púrpura”, où le chevalier et le cheval, visualisés de différents plans, se présentent en de différentes positions pendant le combat. Cette vision d’ensemble se développe aussi en de différentes phases de la bataille.
La différence de profondité visuelle permet que certaines figures portent en soi-même, d’autres possibilités par rapport au différentes images qui seront, peut-être des découpages temporels de la même figure, ou de potentialités parallèles d’une même identité. On donne, par example, le déjà presenté tableau du chevalier avec son casque, en luttant corageusement. Cependant, ce même chevalier, observé d’autre perspective, se présente sous la figure d’un ange avec des ailes dorées qui ne lutte pas, mais rayonne de l’energie.
Les contenus de quelques images (celles qui ont davantage passé par le transmutalisme) se présentent comme des images de différents niveaux de visualisation d’un hologramme.
Voici la grande différence qu’il y a entre les cryptogrammes, puisque les derniers ont besoin d’un effort visuel pour les focaliser en d’autres niveaux à fin de ne voir qu’une seule image.
Dans ce cas, une autre différence c’est que la vision n’est pas davantage rapporté aux yeux, mais focalisée par l’esprit et la conscience de l’observateur.
Emmanüel De Céríz
Mars, 2000
Arte Transmutalista
Nasceu em Portugal, na Cidade do Porto e reside actualmente em Vila Nova de Cerveira. Na sua fase inicial, a maioria dos seus trabalhos eram óleos em tela numa corrente artística e ontológica por si criada a que chamou Metarrealismo. Figuras humanas, na tentativa de superar a sua condição humana, rodeadas de ambientes que elas próprias transformam, como uma extensão do seu próprio corpo, eram o tema predominante.
A Transmutação das coisas e, principalmente, do homem ao quebrar suas fronteiras e limites eram a filosofia do metarrealismo.
Numa fase mais recente, a essência da sua arte evoluiu para um conceito mais sólido e definido para o qual criou uma designação mais adequada - Transmutalismo.
Ao considerar que esta teoria é mais abrangente do que a sua expressão artística escreveu um livro onde sintetizou o Transmutalismo, lançando hipóteses para o desenvolvimento de uma nova área em matemática (Cálculo Transmutacional) e em arte. O livro inclui ainda uma reflexão das relações desta teoria com a Física Quântica e aborda as repercussões desta nova atitude existencial – a de que as coisas podem transmutar-se – no indivíduo e na sociedade. Analisa também a extensão deste conceito à Música, Literatura, Psicologia e Filosofia.
Realiza a sua 1ª Exposição de Pintura em 1987, na galeria–bar Andy´s, no Porto.
Em 1988 termina os seus estudos na Faculdade de Engenharia.
Ainda em 1988 participa numa Exposição Colectiva de pintura na galeria Dreyfus em Londres.
1989 - Exposição individual na Câmara de Gaia.
1990 - » » na Galeria dos Lóios, Porto.
1990 - » » no Marriott Hotel no Cairo, Egipto.
1991 - » » no Salão de Exposições da estilista Olga Rego.
1992 - » » a favor dos Órfãos SOS na Junta Freguesia Cedofeita.
1993 - » » a favor do povo de Timor Leste na Câmara Matosinhos.
1994 - » » na Galeria Douro, no Porto.
1995 - Pinta em Roma e realiza algumas Exposições itinerantes.
1996 - Exposição individual, café-galeria Casa das Artes.
1999 - Desenvolve a teoria do Transmutalismo.
2000 - Publica o livro “Transmutalismo” na Internet
2001 - Exposição individual na galeria da Casa de Turismo de V.N. Cerveira.
2001 - Escreve o livro “Ígneos – Operadores do Impossível Próximo”
desde 1991, a efectuar reportagens das suas exposições.
La Peinture Transmutaliste...
Il est né dans la ville du Porto, au Portugal.
La majorité de ses peintures sont à l’huile sur toile dans une courrante artistique et ontologique crée pour lui et qu’il appele Metarrealisme. Des figures humaines, dans l’attempt de superer sa condition humaine, surrondeés des paysages qu’elles propres transforment, comme une extension de son propre corps, sont la thème principale.
La Transmutation des choses et, surtout, de l’homme quand il attempt la divinisation cassant ses frontières et limites, sont la philosophie du metarrealisme.
Dans sa phase plus récente, L’essence de son art a évolué pour un concept plus solide et plus défini pour lequel a crée une désignation plus juste – Transmutalisme.
Comme il considère cette Philosophie plus importante que ça expression artistique, il a écrit un petit livre où il fait la synthèse du Transmutalisme et avance des hypothèses pour le development d’une nouvelle section dans les mathématiques (Calcul Transmutational). Il fait encore une réflexion de ses relations avec la Physique Quantique et il fait une abordage de les réactions de cette nouvelle attitude existentiel (la de que les choses pouvent se transmuter) dans l’individu et dans la société. Le livre termine avec la analyse de la révolution (que pourrait faire ce noveau concept) dans l’Art, dans la Musique, dans la Philosophie et dans la Religion.
En 1988 termine ses études à l’université, Ingenieurie.
Encore en 1988 participe dans une Expo Collectif de peinture à gallérie Dreyfus à Londres.
1989 - Exhibition individuel au Salon de Gaia.
1990 - » » à Gallerie dos Lóios, Porto.
1990 - » » au Marriott Hôtel au Caire, Egypte.
1991 - » » au Salon d’Expos de la Styliste Olga Rego.
1992 - » » à l’aide des Orphes SOS au Junta Freguesia Cedofeita.
1993 - » » à l’aide du peuple de Timor Leste, au Camara de Matosinhos.
1994 - » » à Galerie Douro, au Porto.
1995 - Il Peinte à Rome et fait plusieurs expos itinérantes.
1996 - Exposition individuel au café galerie Casa das Artes.
1999 – Il développe la philosophie Transmutaliste.
La RTP, La Radio Télévision Portugaise, a fait la divulgation de ses expos après 1991.
Princípe de Cériz e Virkantzya
O Princípe Emmanüel J. Azeved O. Távora De Cériz [http://www.Royal-Families.biz.tc] é o primeiro escritor transmutalista e o fundador do Movimento Transmutalista. Cavaleiro, artista plástico, pesquisador científico, escritor e músico, SAR nasceu em Portugal, mas descendendo de uma das mais antigas famílias com origens em França e Egipto. A origem francesa remonta ao antigo Principado de Ceriz, onde se encontra hoje a cidade de Ceriz Ay localizada na região “deux-sèvres”, a pouco mais de 100km de Paris. As fotos do castelo de Ceriz Ay, “le chateau de Ceriz Ay”, podem ser encontradas por pesquisa na internet e encontra-se em muito bom estado de conservação, atendendo a que é um castelo do século XI. Um dos seus mais antigos e conhecidos ancestrais foi Guy de Ceriz [http://www.heraldique-europeenne.org/Regions/France/Grand_Maitre.htm](ano de 1343), Lord of Ceriz (“Seigneur de Ceriz”), “Grand Maitre de France”[http://www.heraldique-europeenne.org/Regions/France/Miniatures/Ceriz.gif] e '''Princípe de Ceriz''', cujo título significava que era detentor do mais alto poder na corte francesa, logo após o rei[http://hrh-prince-emmanuel-de-ceriz.biz.tc/].
'''Transmutalismo''' é o recente sistema ontológico system creado por SAR Emmanuel De Cériz e explanado nos seus livros ”O Livro de Meta-H”, 1995, "Transmutalismo", 1999, and "Ignius", 2001. Consiste na transmutação em uma nova espécie, ilimitada e immortal. SAR fundou também uma nova teoria matemática, o '''Cálculo Transmutacional''', para poder trabalhar com as possibilidades de transmutar qualquer coisa em algo completamente distinto e essencialmente diferente, A~>B (A transmutado em B), com A=/=B (A essencialmente diferente de B). [http://www.geocities.com/transmutalism]
Cerizay
L’origine du nom serait gallo-romaine. Le centre de la ville était, au Moyen Âge, situé au pied du château féodal. Les deux dernières tours de ce château ainsi que son ancienne chapelle romane du XIIème siècle furent démolies lors de la construction, en 1890, de l’église actuelle. Le chœur de la chapelle renfermait les tombeaux des seigneurs du XVIIème, dont celui du Maréchal de Maillé-Brezé. On s’aperçut lors de la construction de la nouvelle église de l’existence d’un cimetière mérovingien près de la chapelle, des sarcophages en pierre coquillère ayant été mis à jour.
Les habitants naturels de Cerizay s'appellent Cerizéens.
Blason de la Famille Royale Ceriz du XIII ème siècle. Image sans copyright donnée par la famille Ceriz, PD.
Gui de Ceriz, Prince de Ceriz
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Gui de Ceriz (+ap.1369) Le quatrième Grand Maître de France, Seigneur de Ceriz, Souverain Maître d'hôtel du Roi (1343), Prince de Ceriz.
Le Grand Maître de France avait la supervision sur toute la Maison du Roi et pour ça il était choisi par le plus fort sang royal et les plus hautes qualités personnelles. Il plaçait en sautoir derrière son blason deux bâtons de vermeil fleurdelissés, sommés d'une couronne royale.
His Royal Highness the Prince Emmanuel de
Similarly to the Danish royalty, the Royal House of Vïrkantzÿa uses "HKH" instead of "HRH". HKH KröhnPrinz Emmanüel Wund Ceriz is also a knight, a writer, a scientific researcher, a art painter and a musician.
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'''[[Transmutalism]]''' is the recent '''ontological system''' created by HKH and explained in the books ”'''The Book of Meta-H'''”, 1995, "'''Transmutalism'''", 1999, and "'''IGNIUS - The Secret of Transmutation'''", 2001. It consists in transmutation into new species, and immortality.
He also founded a new mathematics theory, the "'''[[Transmutational Calculus]]'''", to explore the possibilities to transmutate things and beings. A new and more complete mathematical building could be born with new axioms, for example “[[axiom]] one of transmutalism”: '''''A equal to B means, simultaneously, that A is different from B'''''. This is a paradox regarding the usual accepted axiom of identity that says that one thing is equal (and only equal) to itself.
His approach is different from old alchemy, from [[nuclear physics]] transmutation of elements using particle accelerators, and from the recent called “[[Cold Fusion]]”. All because Transmutalism is based on an [[inner transmutation]] directly achieved from the energetic field of each being by a complex relation with [[consciousness]], [[Chaos Theory]] and [[Science of Complexity]], as well as [[Quantum Physics]]. [http://www.intelix.net/transmutalism]
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But '''[[Transmutalism]]''' is also a '''new theory of Arts'''. Transmutalism have his own space and interpretation between other artistic theories like impressionism, surrealism, etc. Although the works of Cériz, specially the paintings, have some similarity with [[Van Gogh]]'s style, they are too much different in some points, e.g., the figures architecture reveals specially three things in direct correlation with the figures represented: '''1)''' the '''Transmutational nature of each represented''' being or object; '''2)''' the '''random and [[stochastic processes]] involved''' inside and outside the represented figures and even around them on the surrounding nature; '''3)''' the [[quantum physics]] theory and reinterpretation with focus on the "atomic" constitution (or "particle" constitution) of the all picture, which means that '''each small piece of ink applied by the brush should be alive and look like alive and with it's own [[consciousness]]'''. [http://www.geocities.com/transmutalism]
Transmutalism and Emmanuel de Ceriz
Emmanuel Ceriz
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'Emmanuel De Ceriz', or HKH KröhnPrinz Emmanüel J. Azeved Távora O. Wund Ceriz Ök Vïrkantzÿa is the Legitimate Head Member of the 'Royal House of Ceriz and Virkantzya'.
Royal House of Ceriz and Virkantzya, Coat of Arms
Born in exile, in Valadares, Portugal, in 1972, is the only son of A. Marius De Ceriz, Prince of Ceriz and Virkantzya, and of Elvira P. Azeved Alexievna grand granddaughter of Catarina the Great, Czarina of Russia.
Knight, writer, scientific researcher, art painter and musician, he is the descendent of the very ancient Virkantzya Royalty wich origins remains in the city of “CerizAy” from the very ancient “Principality of Ceriz Ay” located in the “deux-sèvres” county, about 13Km from Niort. The first Castle of “Ceriz Ay”, “le chateau de Ceriz Ay”, was built in the center of town from VIII th century. One of his ancient and well known ancestors was Guy de Ceriz (year of 1343), Lord of Ceriz (“Seigneur de Ceriz”), Prince of Ceriz, Grand Master of France [1].
Emmanuel De Ceriz created Transmutalism, a new thesis about Immortality explained in the books ”The Book of Meta-H”, 1995, "Transmutalism", 1999, and "Ignius", 2001.
HRH Prince Emmanuel de Cériz, Prince of Ceriz and Virkantzya
He also created a new mathematics theory, the "Transmutational Calculus", to explore the possibilities to transmute one thing into a completely different thing (essence and structure), A~>B (A transmuted in B), with A=/=B (A different from B). A new and more complete mathematics (in his vision) could be born with new axioms, for example “axiom one of Transmutalism”: A equal to B means, simultaneous, that A is different from B, this is a paradox regarding the usual accepted axiom of identity that says that one thing is equal (only) to itself; and all the actual mathematician building his based on it . To Transmutalism theory that axiom is incomplete and, subsequently, their “actual mathematician building”.
Transmutalism is also a new theory of Arts.
"Circle of Fire", oil in canvas by Cériz, 2001
Amaya...
Ceriz Origins - Æsir
In Old Norse, the Æsir (singular Ãss, feminine Ãsynja, feminine plural Ãsynjur, Anglo-Saxon Ã"s, from Proto-Germanic *Ansuz) are the principal gods of the pantheon of Norse mythology. They include many of the major figures, such as Odin, Frigg, Thor, Baldr and Tyr. A second clan of gods, the Vanir, is also mentioned in the Norse mythos: the god Njord and his children, Freyr and Freyja, are the most prominent Vanir gods who join the Æsir as hostages after a war between Æsir and Vanir. The Vanir appear to have mainly been connected with cultivation and fertility, the Æsir with power and war.
EtymologyThe word áss, Proto-Germanic *ansuz is believed to be derived from Proto-Indo-European ansu- 'breath, god' related to Sanskrit asura and Avestan ahura with the same meaning; though in Sanskrit asura came to mean 'demon'. The cognate Old English form to áss is os 'god, deity', as in the still-current surname Osgood, or the first names Oswin, Osbert, Oswald, Osborn, Osmund (but Oscar is an unrelated Gaelic name). Snorri Sturluson's Euhemeristic in the 13th century connected the Æsir with Asia, an explanation repeated as late as in the 17th century by Schefferus, who held that Æsir referred to "Asian emperors", that is, a shamanistic hereditary leadership, emanating out from the Eurasian steppes into Europe in ancient times (compare Thraco-Cimmerians).Ãsa is the genitive form of Ãss. The form appears as a prefix to indicate membership in the Æsir in "Ãsa-Þórr", and also in the compound Ãsatrú, a sect of Germanic Neopaganism.
Norse mythologyThe interaction between the Æsir and the Vanir is an interesting aspect of Norse mythology. While other cultures have had "elder" and "younger" families of gods, as with the Titans versus the Olympians of ancient Greece, the Æsir and Vanir were portrayed as contemporary. The two clans of gods fought battles, concluded treaties, and exchanged hostages (Freyr and Freyja are mentioned as such hostages). It is tempting to speculate that the interactions described as occurring between Æsir and Vanir reflect the types of interaction common to various Norse clans at the time. According to another theory, the cult of the Vanir (who are mainly connected with fertility and relatively peaceful) may be of an older date, and that of the more warlike Æsir of later origin, so the mythical war may perhaps mirror a religious conflict. On the other hand this may be a parallel to the historicized conflict between the Romans and the Sabines. The noted comparative religion scholar Mircea Eliade speculated that both conflicts are actually different versions of an older Indo-European myth of conflict and integration between deities of sky and rulership vs. deities of earth and fertility, with no strict historical antecedents.The chronology of the cults would in that case not be pictured in the myths. However, only Odin and Thor were important in both myth and cult; an áss like Ullr is almost unknown in the myths, but his name is seen in a lot of geographical names, especially in Sweden, so his cult was probably quite wide-spread.The Æsir stayed forever young by eating the apples of Iðunn, although they could be slain, as it was predicted that nearly all will die at Ragnarok.
The a-runeThe a-rune
, Younger Futhark was probably named after the Æsir. The name in this sense survives only in the Icelandic rune poem as Ã"ss, referring to Odin in particular, identified with Jupiter.The name of
a in the Gothic alphabet is ahsa. The common Germanic name of the rune may thus have either been ansuz "God, one of the Æsir", or ahsam "ear (of corn)".
List of Æsir and Vanir (all names in Old Norse form)*Baldr — god of innocence and beauty*Bragi — the bard (skald)*Forseti — god of justice *Freyja (a Vanir hostage) — goddess of love and mating*Freyr (a Vanir hostage) — god of fertility and love*Frigg — chief goddess*Heimdallr — the watchman and guardian*Höðr — blind god of darkness and winter*HÅ"nir — the indecisive god*Iðunn — goddess of youth, fertility and death*Loki — the trickster*Meili — the mile-stepper*Nanna — wife of Baldr*Njörðr (a Vanir hostage) — god of seamanship and sailing*Ã"ðinn — chief god, of wisdom and war*Sif — golden-haired wife of Thor*Þórr — god of thunder and battle* — one-handed god of battles and bravery*Ullr — the hunter, tracker and archer*Váli — the avenger*Vé — brother of Odin, who gave men speech*Viðarr — god of silence, stealth, and revenge*Vili — brother of Odin, who gave men feeling and thought
External link* Bartleby: American Heritage Dictionary: Indo-European roots: ansu
Gui de Ceriz, Seigneur, Prince de Ceriz
Azevedo Family
Origin Displayed: Spanish
Spelling variations include: Acevedo, de Acevedo, Aceveda, Aceval, Aceves, de Aceves, Acebedo, de Acebedo, Acebeda, Acebo, Azebedo, de Azebedo, Azevedo and many more.
First found in Galicia, an important Christian kingdom of medieval Spain.
Some of the first settlers of this name or some of its variants were: Migrants to the New World included Alonso de Aceves, who sailed to America in 1517; Hernando Acevedo sailed to America in 1528; Lope de Acebedo sailed to America in 1537.
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Origen, historia y escudo
Acevedo
Gallego. Noble apellido que tiene por tronco a Arnaldo de Bayán, nacido en la Gascuña, que vino a España por los años 980 a luchar contra los moros, fundando casa en Galicia, en tierras de Orense, junto a la actual frontera de Portugal, y falleciendo, en tiempos del rey Alfonso V de León, en el cerco de la ciudad de Viseo. D. Egas Gosindo Bayán, nieto suyo, casó con Doña Ebescua Biegas, de cuyo matrimonio tuvieron un hijo, que fundó casa en el lugar de Acevedo (Portugal), tomando este nombre por apellido. Este caballero tuvo dos hijos: Men Pérez Acevedo, progenitor de los Acevedo portugueses, y Hernán Acevedo, que vino a España al servicio del rey Alfonso VI, asistiendo con él a la toma de Toledo. Los Acevedo de Portugal entroncaron más tarde en España con los condes de Monterrey por el matrimonio de D. Diego de Acevedo Fonseca y Ulloa con Doña Francisca de Zúñiga, segunda condesa de Monterrey. Los Acevedo españoles se extendieron desde Galicia por toda la península. Varias ramas pasaron a América.
Las primitivas armas son: De oro, un acebo de sinople con un lebrel blanco atado a su tronco.Los de Castilla traen: por su entronque con la casa de Ayala, escudo cuartelado, 1º y 4º de oro, un acebo de sinople; y 2º y 3º de plata, un lobo de sable pasante. Bordura de gules con ocho aspas de oro. Los de Navarra traen: Terciado en faja, 1º de azur, tres flores de lis de oro; 2º de plata, cinco roeles de gules puestos en sotuer; y 3º de gules, un lobo pasante de su color. Los de Méjico traen: Cuartelado en cruz, 1º de azur, cinco estrellas de plata puestas en sotuer; 2º de sinople, un creciente de plata ranversado; 3º de oro, un águila de sable; y 4º de plata, un león rampante de gules.
Origen, historia y escudo
Aceves
Este noble linaje procede de Soria, donde tuvo su casa solar. De ella descendían el venerable Don Diego de Acebes, obispo de Osuna y gran Patrón de Santo Domingo, en el año 1202, Juan Pérez de Acebes, Comendador de Villarrubia en Santiago, y Fray Alonso Acebes, Comendador de Castelnovo y Alférez de la orden de Alcántara en 1408. De la casa solar de Soria, salieron ramas que se establecieron en otros puntos de España. El bachiller Juan Gómez de Acebes, fue vecino de Palencia, y brilló mucho en esta ciudad por sus merecimientos.
EscudoEscudo partido: 1º, en campo de plata, un árbol de sinople, acostado de dos flores de lis, del mismo color, y 2º, en campo de oro, cinco bandas de azur.
Acevedo
Origen: Gallego.Origen en el gascón Arnaldo de Gayan que vino a España hacia el año 980 y fundó casa en Orense, un descendiente fundó casa en el lugar de Acevedo (Portugal) tomando este nombre por apellido. . Descripción del Escudo de Armas: En campo de oro un acebo de sinople, con un lebrel blanco atad al tronco del árbol. En Navarra traen escudo terciado en faja: 1º en campo de azur tres flores de azur tres flores de lis de oro. 2º de plata cinco roeles de gules puestos en sotuer. 3º de gules, un lobo pasante de su color.
Historia Presentada: Acevedo
Este linaje es muy antiguo y noble de España. La mayoría de los autores dicen que procede de Portugal, aunque esta afirmación es exacta, conviene advertir que su origen no arranca de esa nación, sino de Francia. Su casa solar se fundó en Galicia, España. El primer caballero de esta casa se llamó Arnoldo de Bayan. Era oriundo de Gascuña; vino a España para pelear en las guerras contra los moros por el año 983 E.C., y pobló en Galicia, junto a la frontera con Portugal. Murió de un saetazo de los moros en el sitio de la ciudad de Viseo o Buco. Egos Gosindo Bayan, nieto de Don Arnoldo de Bayan, y que también prestó servicio militar al Rey Don Fernando el Grande, se casó con Doña Ebescua Biegas y tuvieron un hijo, que pasó a Portugal, radicando en el lugar de 'acevedo' cuyo nombre tomó por apellido. El nombre acevedo proviene del Latín: 'Aciphilum' (acebo) que se traduce como "Él que habita en la plantación de los acebos". Su *blazón se describe como escudo cuarteado. 1o. y 4o., en oro con un acebo de sínople. 2o., y 3o., de plata con un lobo pasante de sable. Bordura de gules con ocho aspas de oro. El 12 de Octubre de 1492, él primer Acevedo pisó el Nuevo Mundo. Era un chamaco llamado 'Pedro de Acevedo'. Pedro sirvió como paje de cabina para Cristóbal Colón abordo de la carabela "Santa María" durante el viaje del 'descubrimiento.' * Este es uno de los blasones Acevedo más antiguos registrado. Aunque exhibimos este, de ninguna manera significa que es el único blazón asociado con este noble y antiguo apellido Español
ACEVEDO: Noble apellido que tiene por tronco a Arnaldo de Bayán, nacido en la Gascuña, que vino a España, por los años 980, a luchar contra los moros, fundando casa en Galicia, en tierras de Orense, junto a la frontera de Portugal, y muriendo, en tiempos de don Alfonso V de León, en el cerco de la ciudad de Viseo. Un bisnieto suyo, Egas Gosindo Bayán, casó con doña Ebescua Biegas y tuvieron un hijo que fundó casa en el lugar de Acevedo, en Portugal, tomando este nombre por apellido. Este caballero tuvo dos hijos: Men Pérez Acevedo, progenitor de los Acevedo portugueses, y Hernán Acevedo, que vino a España al servicio de don Alfonso VI, asistiendo con él a la toma de Toledo. Los Acevedo de Portugal entroncaron más tarde en España con los Condes de Monterrey por el matrimonio de don Diego de Acevedo Fonseca y Ulloa con doña Francisca de Zúñiga, II Condesa de Monterrey; con los Condes de Fuentes, etc. Los Acevedo españoles se extendieron desde Galicia por toda la Península.Trae por Armas: En campo de oro, un acebo de sinople, con un lebrel blanco atado al tronco del árbol.Los de Castilla por su entronque con la casa de AYALA: Escudo cuartelado: 1º y 4º, En campo de oro, un acebo de sinople; y 2º y 3º, en campo de plata, un lobo de sable, pasante. Bordura general de gules, con ocho sotueres de oro.Los de Navarra traen: Escudo terciado en faja: 1º, en campo de azur, tres flores de lis de oro; 2º, en campo de plata, cinco roeles de gules, puestos en sotuer; y 3º, en campo de gules, un lobo pasante de su color.Los de Méjico traen: Escudo cuartelado: 1º, de azur, con cinco estrellas de plata, puestas en sotuer; 2º, de sinople, con un creciente de plata, ranvesado; 3º, de oro, con un águila de sable; y 4º, de plata, con un león rampante, de gules.